Tout au long du parcours les offrandes abondent, les commerçants tamouls offrent gracieusement boissons et repas au passants « véritable fête de partage ». Je n’ai vraiment pas eu le temps de boire ou de manger, trop occupée à prendre des photos.
Brusquement je me retrouve nez à nez avec un groupe de participants, fracassant les noix de coco au sol au passage de la procession, j’ai tout juste eu le temps de protéger mon appareil de l’eau qui jaillissait des noix, tout en attrapant un énorme morceau que j’ai peine à manger entre deux prises de vues. Je récupère quelques kilomètres plus loin un sac plastique chez un commerçant, pour mettre la noix de coco qui commençait à me poser problème lors des prises de vues.
En arrivant à la maison j’étais tellement fatiguée que j’ai mis le morceau de noix au frais, ce n’est que quelques jours plus tard que j’ai fait des macarons avec. J’étais épuisée, certes, mais tellement émerveillée par les images réalisées tout au long de cette journée, que la fatigue n’en était rien.
Je salue les organisateurs ainsi que la communauté tamoule pour leur courage et dévotion exemplaire envers leur Dieu. Ils nous donnent une fois par an une vraie leçon du savoir vivre, de partage, de joie et de gaieté en plein cœur de Paris.
Simone D
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